Dans cette vidéo je vous explique pourquoi je pense qu’il ne faut jamais chercher d’excuse.

L’important n’est pas ce qui nous arrive, mais notre réaction à ce qui nous arrive…

Abonnez-vous à la chaine You Tube pour ne manquer aucune vidéo : cliquez ici.

Téléchargez le fichier MP3 ici.
Téléchargez le fichier PDF ici.

Transcription de la vidéo :

Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo de Pas-de-stress. Et aujourd’hui, je vais vous expliquer pourquoi je pense qu’il faut qu’on essaye d’arrêter de se trouver des excuses  pour expliquer certaines choses qu’on n’arrive pas et qu’il faut essayer de faire avec ce que la vie nous donne. C’est parti !

C’est vraiment une tendance qu’on a tous, qu’on entend partout et qui est de dire : « Je n’arrive pas à faire quelque chose mais si quelque chose d’autre n’était pas là, j’y arriverai. » Par exemple : « J’aimerais monter mon entreprise si je n’avais pas d’enfants ; ce serait si facile si je n’avais pas d’enfants, je pourrais monter mon entreprise. » « J’aimerais monter des échelons dans la société pour laquelle je travaille si seulement il n’y avait pas ce chef, si seulement j’avais un chef qui me comprenait mieux, je pourrais le faire. » « Je pourrais travailler 12 heures par jour si seulement je n’avais pas de problème de santé. » Donc, plein de choses comme ça : « Je pourrais réussir à lire une heure par jour si seulement je trouvais le temps. » Donc, on a tous plein de bonnes idées, plein de bonnes choses qu’on aimerait faire et il y a, si on regarde tous, des dizaines d’obstacles face à toutes ces choses. Ça peut être le temps, la famille, un problème relationnel qu’on a avec quelqu’un et on a tendance à prendre toutes ces choses comme excuses pour expliquer notre échec. Et c’est relativement facile pour nous et relativement confortable parce qu’étant donné qu’on a une excuse, le fait qu’on n’arrive pas à faire quelque chose, eh bien, ce n’est pas de notre faute, c’est de la faute des événements qui sont comme ça : c’est parce qu’on a des enfants qu’on ne peut pas monter sa société ; c’est parce qu’on vient de se marier qu’on ne peut pas aller vivre à l’étranger, etc.

Donc, on trouve tout le temps tout un tas d’excuses qui nous permettent de dire : « Ce n’est pas de notre faute. » Et pourtant, ce qu’il est très important de comprendre, c’est qu’on est responsable de nos vies. Et évidemment – c’est une objection qu’on me fera si je ne fais pas cette mise au  point – c’est vrai qu’il y a des personnes qui ont plus de chance que d’autres ; il y a des personnes qui ont eu plus de moyens que d’autres, qui ont eu plus de facilité que d’autres à avancer ; il y a des personnes qui ont eu moins d’obstacles mais nous sommes vraiment tous proactifs, nous sommes tous responsables de notre réaction aux événements. Et  par exemple, de mon côté, j’ai pu monter une société qui fonctionne très bien en ayant deux enfants. Donc, quand j’entends des gens qui disent : « Je ne peux pas à cause de mes enfants. », je dis : « Non, ce n’est pas vrai, c’est possible de le faire. Je ne suis pas plus intelligent que toi, je ne suis pas meilleur que toi ; j’ai juste dit : « O. K., voilà ma situation actuelle, voilà mon objectif et je vais tout faire pour travailler vers cet objectif. » » Donc, c’est vraiment votre réponse qui fait le succès.

C’est pareil pour tout un tas de choses. Quand j’ai terminé mes études et je n’ai pas trouvé  immédiatement d’emploi en France, je suis allé à l’étranger ; j’aurais pu dire : « Ah, je suis sur le point de me marier ; ma femme a un travail en France, je ne peux pas. Si seulement je n’avais pas de femme qui a un travail en France, j’irais à l’étranger. » Non ! Nous avons préféré dire (parce que ma femme a été impliquée dans cette démarche) : « O. K., voilà notre situation, voilà ce qu’on va faire, voilà notre objectif. » Donc, on est vraiment proactif, on est responsable de ce qui nous arrive et ce ne sont pas les événements extérieurs qui doivent gouverner notre vie et nos objectifs mais c’est bien nous-mêmes, c’est bien notre volonté, c’est bien notre façon de penser et nos réactions.

Pour aller un peu plus loin là-dessus, je vous conseille de lire Jim ROHN et Steven COVY qui ont beaucoup parler de ces aspects (le fait d’être proactif, le fait que ce n’est pas les événements qui gouvernent notre réussite mais plutôt réaction à ces événements.) Bien sûr, comme je vous l’ai dit, il y a la nuance : il y a des gens qui ont plus de chance que d’autres mais je pense que si on met toutes les personnes dans les mêmes conditions, il y en a qui réussiront et d’autres qui ne réussiront pas. Celles qui ne réussiront pas sont celles qui auront trouvé des excuses pour justifier leur inaction et celles qui réussiront seront celles qui auront agi en disant : « C’est un challenge, je vais mettre toutes les chances de mon côté pour réussir à obtenir quelque chose. »

Je voulais, avant de vous quitter, vous donner un petit exemple tout bête – et en fait, c’est ça qui m’a fait penser à enregistrer cette vidéo aujourd’hui ; je savais que j’allais enregistrer des vidéos mais je n’avais pas choisi de sujet. En fait, il s’avère que ma fille Emma est malade (elle a eu 42°C de fièvre toute la nuit.) Comme ma femme Céline travaillait, Emma était avec moi ; je l’avais prise avec moi dans le lit, on était ensemble, elle se réveillait tout le temps, donc, j’ai très mal dormi ; je me suis levé plein de fois pour lui donner des médicaments. Enfin, tous les pères de famille se reconnaîtront et sauront de quoi je parle. Toutes ces activités nocturnes ont fait que j’étais très fatigué ce matin et que je n’ai pas réussi à me lever. Donc, j’aurais pu me dire : « Ah ben, oui, j’ai une excuse ; ma fille a été  malade, je ne vais pas pouvoir faire ma routine matinale, je ne vais pas faire mon sport, je ne vais pas écrire dans mon journal, etc. »  – Je vous parle beaucoup de moi mais c’est parce que ce sont des exemples personnels et non pas pour essayer de prouver quelque chose que je le fais ; ce sont des exemples personnels qui sont, à mon avis, plus concrets et qui vous aideront certainement à mieux assimiler ce que je veux dire par-là. Et donc, j’aurais pu me dire : « J’ai une excuse, ce n’est pas de ma faute » mais je me suis forcé, j’ai dit : « Non ! » Effectivement, je n’ai pas réussi à me lever tôt comme je devais le faire mais par contre, j’ai pris un peu plus de temps, j’ai écourté mon petit déjeuner. Pendant que ma fille regardait la télé, j’ai fait un petit peu de sport, j’ai écrit dans mon journal, j’ai fait ma méditation. La vie m’a donné des événements, j’ai eu des imprévus comme tout le monde a chaque jour et j’ai fait avec ces imprévus pour essayer de quand même mettre en place ma routine, alors que ça aurait été très facile de dire : « J’ai une excuse, ma fille Emma a mal dormi, je n’ai pas dormi de la nuit, et donc, ce n’est pas grave si je ne fais pas de sport et si je ne suis pas ma routine. »

Donc, vous voyez, c’est vraiment toute la différence. Vous pouvez avoir un événement qui vient perturber votre planning, vous pouvez utiliser ça pour justifier l’inaction ou vous pouvez dire : « O. K., c’est comme ça, à  moi d’être créatif et de trouver le moyen malgré cet événement négatif ou qui me gêne de réussir à suivre mon programme – pour moi, c’était mon programme de développement personnel, mais ça peut être plein plein d’autres choses. » Ça peut être « enregistrer un épisode de podcast », ça peut être « Travailler sur votre société », ça peut être vraiment plein plein de choses ; « travailler sur votre apprentissage des langues », etc. mais ne trouvez pas d’excuses, ne cherchez pas d’excuses, soyez responsables, soyez proactifs, voyez toujours les choses du bon côté ; n’espérez pas que la vie soit différente mais faites avec ce que la vie vous a donné.

Et il y a une citation que j’ai lue dans un livre de Dale Carnegie sur le sujet qui est… – je ne connais plus le titre en Français, je vous mettrai le lien en Anglais qui est : How to stop worrying and start livingJ’ai déjà parlé de ce livre de Dale Carnegie et il y a une de ses citations : Si on vous donne du citron, faites une citronnade. Si la vie vous donne un citron, faites une citronnade et ne vous plaignez pas d’avoir eu un citron qui est acide plutôt que d’avoir une pomme qui est sucrée par exemple. Si la vie vous donne un citron, prenez le citron et réfléchissez à ce que vous pouvez faire avec ce citron et faites une citronnade ; faites ce qu’il y a de mieux à faire avec ce citron. Donc, soyez proactifs, soyez responsables, ne cherchez pas d’excuses, voyez la vie du bon côté, je vous retrouve très bientôt pour une nouvelle vidéo de Pas-de-stress ou dans mon livre digital Les quatre pilules pour une vie riche et sans stress dans lequel je parle de ces sujets de proactivité et du fait d’être responsable.

A très bientôt !