Dans cette vidéo je partage une procédure simple pour limiter votre stress :

  • Conseil 1/3 – Prenez conscience du fait que vous êtes stressé
  • Conseil 2/3 – Ne culpabilisez pas / Acceptez le fait d’être stressé
  • Conseil 3/3 – Travaillez au problème de façon zen

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Bonjour membres de Pas-de-stress et merci de me rejoindre pour cette deuxième vidéo, une vidéo de Pas-de-stress. Vous pouvez en savoir plus sur Pas-de-stress et sa communauté en visitant le site www.pas-de-stress.com. C’est mon blog de développement personnel dans lequel je partage plein d’astuces et sur lequel je vous donne plein de conseils pour essayer de limiter votre stress qui est un de mes combats quotidiens – je commence à le devenir de mieux en mieux sur le sujet mais ça n’a pas toujours été le cas. J’ai pas mal souffert de problèmes de stress et d’anxiété, et donc, ça m’a obligé à rechercher et à tester des choses qui peuvent permettre de limiter son stress pour avoir une vie plus saine, plus équilibrée et un petit plus zen – comme on aime le dire. Je vous ai préparé aujourd’hui pour cette vidéo une procédure simple pour réduire votre stress. Je vous l’ai préparée en trois points, trois étapes très claires, très simples, très faciles à comprendre et très faciles à mettre en place. Donc, c’est vraiment une procédure que chacun d’entre vous peut essayer de suivre et de mettre en place dans sa vie pour vraiment réduire son niveau de stress au global.

La première étape de cette procédure, c’est quelque chose de très simple et évidente : c’est de prendre conscience du fait que vous avez un problème de stress. Prendre conscience de cela, c’est le point numéro 1. J’en ai déjà parlé mais, moi, pendant deux ans, j’ai souffert de problèmes de stress sans le savoir. J’avais souvent des grosses douleurs au niveau de l’estomac qui provoquaient parfois des vertiges ; plusieurs fois j’étais dans le trame et j’étais à deux doigts de descendre du trame parce que j’avais mal à l’estomac, j’avais des vertiges, je faisais des crises d’angoisse mais je ne me sentais pas stressé, au contraire, je pensais que j’avais une vie qui était saine, qui me paraissait être équilibrée – apparemment ce n’était pas le cas mais je n’en avais pas pris conscience ; pour moi, tout allait bien, c’était une période de ma vie où j’avais beaucoup de travail, où il y avait un gros changement parce que je vivais à l’étranger mais dans ma tête, je n’avais pas de problème de stress. [Mais finalement] mon corps m’a dit : « Johan, tu as un problème de stress. » Et donc, c’est pour ça que je trouve qu’il est parfois dangereux de ne pas se rendre compte de cela. Moi, j’avais ces problèmes d’estomac, j’ai fait plusieurs crises d’angoisse où j’avais l’impression d’avoir du mal à respirer et qu’il me manquait de l’air et je pensais vraiment avoir un problème de santé, je pensais que quelque chose clochait au niveau de mon corps. Et qu’est-ce que ça fait si vous pensez comme ça ? Malheureusement, ça amplifie le stress ! Vraiment, je n’étais pas conscient du fait que j’étais stressé ; j’avais certains symptômes de mon corps qui étaient là et qui essayaient de me dire : « Johan, tu es stressé, il faut faire quelque chose. » mais je ne le comprenais pas, je n’en prenais pas conscience et donc, ces signaux que me donnait mon corps, au lieu de me faire prendre conscience, eh bien, ils amplifiaient mon stress ; et ça, c’est un risque, un piège qu’il faut à tout prix éviter. Pour moi, ça a été le jour et la nuit à partir du moment où j’ai vu un médecin – c’était en Autriche où je vivais – qui était super bien, super zen, super cool et qui m’a clairement dit : « Vous êtes en super santé mais vous stressez trop et vous devez arrêter de stresser si vous voulez rester en super santé. » Donc, rien que d’avoir compris que je n’avais pas de problème de santé, mais que je souffre de stress, eh bien, cette prise de conscience a déjà limité mon niveau de stress de 50% et donc, c’est pour cela que c’est la première étape de cette procédure en trois points que je vous recommande de mettre en place chez vous. Il n’y a pas de honte à souffrir du stress – vous n’y pouvez rien – ; le stress, c’est quelque chose un peu tirée de notre évolution – nos ancêtres avaient de poussée d’adrénaline s’ils voyaient un animal sauvage [parce qu’ils] devaient se sauver et c’est ce qui a permis à la civilisation humaine de s’étendre (il y a le téléphone qui sonne mais on va le laisser sonner, ce n’est pas grave, désolé pour ça. En fait, j’avais enlevé le combiné, je l’avais mis là-bas et je n’ai pas pensé que la base sonnerait, mais ce n’est pas grave, on va l’ignorer, je suis désolé pour ça, je ferai attention pour la prochaine vidéo). C’est la première chose : prendre conscience, c’est vraiment le point de départ et comme je vous le disais, il n’y a aucune honte d’être stressé. On vit dans une civilisation de personnes stressées ; c’est lié à notre évolution ; faites du sport mais surtout prenez conscience du fait que vous êtes stressé. C’est le premier point, la première étape.

La deuxième étape est une étape qui est, à mon avis, évidente aussi, mais c’est un petit peu ce que je commençais à vous dire avant : c’est « ne culpabilisez pas », acceptez ça, vous ne pouvez pas le changer, vous ne pouvez rien y faire, il n’y a pas de honte à être stressé, c’est génétique, l’être humain est fait comme ça ; bien sûr, il y a des personnes plus sujettes au stress que d’autres ; il y a des personnes à qui j’ai l’impression qu’il peut leur arriver n’importe quoi mais elles ne se stresseront presque jamais ; il y en a d’autres qui se stressent plus comme moi et peut-être comme vous, donc, on n’est pas [égal] face au stress mais il faut l’accepter. Vous avez d’autres qualités, il y a plein de choses que vous savez faire, il y a plein de choses positives chez vous, malheureusement vous souffrez de stress. Maintenant que vous l’avez compris et que vous avez pris conscience de ça, eh bien, vous devez l’accepter. Acceptez-le, tant pis, c’est comme ça. Ça ne veut pas dire qu’il faut être passif et ne rien faire – je vais y revenir après – mais ça veut clairement dire qu’il faut à tout prix accepter, il faut accepter ce qu’on ne peut pas changer, sinon, c’est, encore une fois, quelque chose qui va encore vous créer plus de stress. Si vous dites : « Ah, mais je suis stressé, ce n’est pas normal, je suis faible par rapport aux autres… » ; Toutes ces pensées négatives vont créer du stress en plus. Ça paraît clair et évident mais il faut absolument accepter le fait que vous êtes stressé et bien sûr – là on entre dans le troisième point – ne pas rester passif ; il faut travailler au problème.

Vous pouvez travailler au problème de différentes façons : moi, ce que j’ai essayé de faire, les premiers conseils, c’est de combattre les pensées négatives. Quand je sens, pour une raison ou pour une autre, je suis en train d’aller au travail et je pense à  un problème que j’ai au travail – je suis responsable de projet dans l’industrie automobile encore et je pense : « on a un problème de livraisons des pièces et je vais avoir beaucoup de pressions du client, qu’est-ce qui se passe si on n’arrive pas à livrer à temps, etc. ? » Dès que j’ai des pensées négatives comme ça qui me donnent des petits fourmillements à l’estomac, qui me rendent mal à l’aise et qui font que je suis stressé, j’essaye de combattre ça et j’essaye de penser aux vacances, à des choses qui me plaisent, au petit bouquin que je vais lire le soir, au petit repas que je vais me faire le soir avec mes enfants et ma femme, à vraiment plein de choses comme ça ; j’essaie toujours de combattre ces pensées négatives. Une chose que je fais, c’est que j’essaye de me dire « ça peut toujours être pire » : Si je n’arrive pas à livrer les pièces au travail, et alors ? A la limite, ça va être un petit problème qui va me prendre quelques jours, qui va peut-être me donner du travail, qui va faire en sorte que je vais être obligé de trouver une solution pratique et pragmatique mais si je réfléchis vraiment sans émotion ou en limitant les émotions, ce n’est pas un problème grave et ça peut toujours être pire. Donc, j’essaye de relativiser et de me poser la question : quel est le pire qui peut arriver ? Si on reprend mon exemple du travail, admettons que nous ne livrons pas les pièces demain mais dans trois semaines. Là, il va y avoir plein de problèmes, plein de discussions mais qu’est-ce qui peut arriver au pire ? Quelle sera la pire des choses qui pourra arriver ? Bien souvent, c’est rien ou ce n’est pas grand-chose – on ne va pas me faire perdre mon emploi pour ça ! Et encore, étant donné que j’ai démissionné, ce n’est pas très grave pour moi mais, voyez-vous, j’essaye toujours de réfléchir au pire  et bien souvent, le pire qui puisse arriver, c’est uniquement qu’on vous met la  pression et peut-être que votre chef va vous dire : « Tu n’as pas été à la hauteur. » Mais il ne peut rien arriver de très très grave et souvent le fait de se dire « qu’est-ce qui peut arriver de pire sur ce problème qui me stresse ? » eh bien, ça vous permet de relativiser et de voir que finalement, ce n’est pas si grave que ça. Donc, toujours dans la même idée, j’essaye – j’en ai parlé dans ma première vidéo – de toujours revenir au basique. Quand j’ai un problème je me dis : « OK. Est-ce que ce problème serait encore important si quelqu’un de ma famille avait été malade ? Ou si on m’apprenait que je suis malade ou quelque chose comme ça ? » Bien souvent, quand on relativise, on voit que les problèmes qui nous stressent ne sont pas toujours importants, que souvent, on a tendance à stresser un peu pour rien. Donc, essayer de prendre conscience de ça, ça aide – ça m’aide en tout cas lorsque je reviens au basique à voir que je stresse parfois pour rien. Et le fait de se rendre compte qu’on stresse pour rien, eh bien, ça permet de moins stresser, je pense que c’est clair. Une chose que je fais souvent aussi, c’est que j’ai de la gratitude : quand il y a quelque chose qui me stresse – vue que souvent, c’est une accumulation de quelques problèmes (vous pouvez avoir un problème pour votre travail et un problème en même temps pour votre business, en même temps un problème au niveau de votre famille, une dispute ou quoi que ce soit) et souvent, comme vous avez ces trois problèmes bout à bout, ça a tendance à vous stresser. Moi, ce que je fais dans ces cas-là, c’est que j’essaye d’éprouver de la gratitude et je me dis : « bon, j’ai deux enfants en bonne santé qui se développent bien, qui sont superbes, qu’on essaye d’élever du mieux qu’on le peut, qui ont les valeurs qu’on leur transmet et qui nous montrent de l’amour ; j’ai une femme géniale avec laquelle je m’entends super bien, avec laquelle nous avons jusqu’ici eu plein de projets en commun que nous avons réalisés et plein d’autres projets encore à réaliser ; j’ai des parents formidables avec lesquels je m’entends très bien ; j’ai un frère avec lequel je m’entends super bien – on a fait un produit pour mon business Français Authentique ensemble – , donc, vraiment la chance d’avoir plein de personnes autour de moi exceptionnelles que j’aime, et j’ai plein d’amis ; mais surtout, au-delà d’avoir pleins de copains, plein de personnes avec lesquelles je m’entends très bien, j’ai quelques amis – ceux-là, on les compte toujours sur les doigts d’une main – qui sont très fidèles et qui sont à mes côtés depuis quinze ans. » Donc, voilà, j’essaye de faire une liste de toutes les choses positives que j’ai-  je vis bien, j’ai un bon cadre de vie, un bon rythme de vie, un bon job, je gagne bien ma vie – et j’essaye de faire en sorte de comparer toutes ces choses positives aux problèmes de ma vie quotidienne. Donc, ça, c’est un petit conseil que je vous donne pour travailler aux problèmes et il y a encore tout un tas de petits outils type respiration ventrale lorsque vraiment le stress commence à vraiment trop vous envahir ; essayer de bien respirer, vous pouvez méditer, faire du yoga ; tout ça, ce sont des choses que j’essaie de faire et que j’essaye de mettre en place mais vraiment, évidemment – c’est l’objet de cette partie – il faut travailler au problème une fois que vous avez pris conscience du fait qu’il est là, essayer de travailler et de limiter et de mettre au point tous les jours de petites actions pour limiter votre problème de stress.

Encore une fois, c’est ma procédure pour limiter le stress de ma vie :

1- Prenez conscience du fait que vous avez un problème de stress ; il n’y a pas de honte ;

2- Acceptez-le ! Vous ne pouvez pas vraiment le changer tout de suite dans l’immédiat, vous devez accepter le fait que vous êtes sujet au stress, que vous êtes sensible au stress ;

3- Mettez en place plein de petits « trucs » afin de limiter les effets du stress sur votre corps ; donc, combattez les pensées négatives, essayer d’éprouver de la gratitude ; posez-vous toujours la question « quel est le pire qui pourrait arriver au niveau de ce problème ? Qu’est-ce qui peut m’arriver de pire ? »  Essayer de revenir au basique et essayer d’appliquer quelques petits « trucs » type respiration ventrale, méditation, yoga, boire du thé, etc. afin d’essayer de limiter les effets du stress de votre vie.

D’ici peu – c’est une nouvelle chose que je vais faire pour Pas-de-stress – je ferai des revues de livres – parce que je lis pas mal de livres sur le sujets  et là, en l’occurrence, il y a deux livres qui m’ont beaucoup intéressé dont un de Dale Carnegie (je ne me souviens pas du titre en Français – c’est un livre que j’ai lu en Anglais avec le titre : How to stop worrying and start living ? qui se traduit : comment arrêter de vous faire du souci et commencer à vivre ?) Je ferai une revue de ce livre en vous donnant les points-clés des chapitres, etc. Et un autre livre qui m’a beaucoup marqué sur le sujet, c’est « Le moine qui vendit sa Ferrari » – c’est pareil, je l’ai lu en Anglais – de Robin Sharma. Je ferai pour chacun de ces livres une revue en vidéo [parce que] ce sont des choses que j’ai l’intention de faire pour Pas-de-stress, partager un petit peu avec vous mes lectures, vous dire ce que j’en pense, ce que j’ai appris, et ça, je le fais pour deux raisons : la première, pour vous aider à découvrir des livres et pour vous faire gagner du temps – puisqu’à la limite, vous écoutez la vidéo et vous prenez ce que  moi, j’ai retenu de ce livre – et la deuxième raison, c’est que je suis partisan du fait qu’en enseignant quelque chose, en me mettant devant la caméra après avoir lu un livre et en vous disant ce que j’ai retenu, eh bien, moi, ça m’aide encore plus à apprendre. Tout ce que j’ai appris en lisant ce que je n’ai pas encore mis en pratique, si je vous l’enseigne, si je vous l’explique, eh bien, ça va l’intégrer encore plus au niveau de mon cerveau et ça fera que j’aurai appris de façon encore plus profonde. C’est les deux raisons pour lesquelles j’ai l’intention de mettre ces revues à votre disposition sur le site Pas-de-stress.

Vous êtes de plus en plus nombreux à me suivre et j’en suis très heureux. Donnez un pouce vert à cette vidéo si vous avez appris des choses parce que Pas-de-stress est en phase de lancement – je n’ai pas encore atteint la dimension de Français Authentique, mon autre site qui,  lui, a déjà énormément de succès. Là, je suis au début de Pas-de-stress ; donnez-moi un pouce vert pour m’aider à faire connaître mes vidéos, partagez-les avec vos amis si vous pensez que ça peut les aider et rejoignez la page Facebook de Pas-de-stress – vous tapez Pas-de-stress sur votre page Facebook, vous cliquez sur « J’aime » et là, vous pourrez interagir avec moi et me donner des idées. Comme on est au début, j’ai plein d’idées – je vous parlais par exemple de mettre en place ces revues de livres, essayer de faire d’autres vidéos comme celle d’aujourd’hui – mais ce qui compte, c’est « comment est-ce que je peux vous aider ? » Donc, allez sur la page Facebook de Pas-de-stress et donnez-moi des idées : « Johan, j’aimerais bien que tu parles de ça ou de ça » afin que je mette à votre disposition du contenu de qualité qui vous aidera à limiter votre niveau de stress. En tout cas, merci pour tout et je vous dis à très bientôt pour une nouvelle vidéo de Pas-de-stress.